Je veux bien qu'on me dise asocial, mais quand même, y'a des limites
Non parce que quand même, quand ce matin, j'ai eu la surprise de me retrouver nez à nez avec la gnome d'un collègue (10 ans, je le précise parce que c'est important pour la suite), je ne savais pas à quel point la journée allait être douloureuse.
Elle est très migonne, je dis pas, mais bon mes nerfs commencent à lacher d'entendre depuis ce matin la gamine qui n'a trouver comme seuls jeux qui l'amusent : décrocher le téléphone pour jouer la secrétaire qui comme toute secrétaire est très bruyante, appuyer sur la calculatrice à bande qui imprime tout, mais alors, tout et de façon très, très, très bruyante, passer des feuilles une par une dans le destructeur de document qui est vraiment lent mais vraiment très, très, très, très, très bruyant,...
Bon, je sais bien qu'elle s'embête mais de là à nous faire écouter 5 fois de suite Ray Ventura (Madame la marquise, elle connaissait pas, donc on lui a fait écouter et horreur, elle a aimé), pour ensuite attaquer sur du Lorie. Là maintenant on est en train de gouter à l'intégral d'Alizée. Je savais pas qu'elle avait fait autant de chanson.
Je suis en train de me maudir d'avoir oublié ma todo DS pour l'occuper.
Je ne dois pas me plaindre moi, je dois surtout la plaindre elle qui viens passer ses vacances ici (enfin, j'espère qu'on ne vas pas l'avoir ici toutes ses vacances, sinon, je vais finir chèvre. Je viens déjà d'être pris d'un fou rire incontrôlable en l'entendant chanter "Les Bétises" de Sabine Paturel).
M'enfin, par sécurité, demain j'aurai ma console et le chargeur avec au cas où...
Alors ? asocial ?
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