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De Sanquis
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30 septembre 2008

Majorque : le carnet de voyage, deuxième partie

Lundi 6 : visite à Palma

Well, well what a weird day. J’ai commence la journée tôt pour pouvoir prendre le bus de 8h40 à Santa Ponsa. Réveillé donc à 8h00, ce qui est déjà assez dur, je me suis dirigé tout chancelant de fatigue vers le restaurant (cantine serait un mot plus juste, mais bon, je suis en vacances, donc il s’agira bien d’un restaurant). Alors, avec ma précipitation habituelle, un petit déjeuner pris presque sur le pouce et un détour par la chambre pour prendre mon sac, je cours pour essayer de prendre mon bus (j’ai pas perdu toutes mes habitudes parisiennes, c’est un vrai bonheur). Qu’évidemment j’ai raté… mais comme de toute façon, je m’étais planté dans les horaires, et que j’avais regardé les horaires de retour de Palma, forcément je pouvais pas l’avoir.

Donc, après avoir attendu un bon quart d’heure en compagnie de charmants Allemands, de bronzés Anglais et de frivoles Espagnols (c’est juste pour la rime parce qu’on voit rarement des anglais bronzés, généralement, ils sont rouges) (presque tous m’ayant d’ailleurs lâchés au fur et à mesure pour ces attractions à touristes que l’on appel pudiquement « Excursions ») j’ai enfin pu prendre le bus. Enfin presque, le problème c’est que quand on tend un billet de 10 euros à un chauffeur qui ne le prends pas parce qu’il n’a pas de monnaie, il faut attendre et attendre et attendre jusqu’à ce qu’il réussisse à faire le peu de monnaie nécessaire à la délivrance du précieux passe pour donne accès à… un tour de bus.

Mais bon, j’arrive quand même à Palma et là, je vois tout de suite un bâtiment que j’identifie comme devant être la cathédrale de Palma, très connue visiblement. Donc je descends. Je vais voir ledit bâtiment qui se trouve bien être, la cathédrale mais dont l’entrée est barrée pas ce cerbère que l’on appel caisse enregistreuse. Payer 4 euros pour entrer dans un bâtiment religieux, moi je sais pas faire. Donc, très peu pour moi, je vais vite voir de l’autre côté de la rue si par hasard, on n’y est pas mieux accueilli (ou en tout cas, moins cher).

DSCN4409

En fait de l’autre côté de la rue, il n’y a rien. Enfin si des murs et puis d’autres murs et encore d’autres, tous à angle droit, mais pas forcément en face les un des autres. Donc commence une longue déambulation dans les ruelles étroites de Palma. Ca me rappel d’une certaine façon le Marais à Paris, mais en moins… chaotique ? de guingois ? ouais, un peu quelque chose comme ça.DSCN4417DSCN4429_L_h_tel_de_ville

Disons que les arrêtes sont plus net mais les ruelles sont très étroites (de toute façon piétonnières) et c’est très déroutant mais ici, tout se joue sur la hauteur. En fait c’est pas plus haut que Paris, mais en fait, sis, ça en donne l’impression, un peu genre un Gotham selon Tim Burton, mais à taille humaine, avec des passerelles entres les maisons dont une qui m’a vraiment évoqué le Pont des Soupirs de Venise.

DSCN4418

Y’a vraiment de quoi s’y perdre, tout ce que j’aime. D’ailleurs, j’ai bien essayé de m’y perdre, j’ai fini au bout d’un moment par me sentir paumé. Mais pas par la ville en elle-même, juste parce que je n’avais personne avec qui rire de ces aventures déambulatoires, partager la beauté de la ville, m’arrêter prendre un café ou manger un morceau. En un mot, il y a eu un moment où je me suis senti seul au monde.

Seul_au_monde

Ce qui n’arrange pas les choses c’est qu’ici, si on ne parle pas Espagnol ou Allemand, on a peu de chance de pouvoir se faire renseigner. Alors moi qui parle Français et Anglais, je n’ai pas été à la fête. Ne serais-ce que manger a été toute une histoire et finalement je suis ressorti avec la moitié de ma commande qui n’était pas ce que je voulais. Au moins j’ai eu l’essentiel : ici ils connaissent encore l’insigne bonheur de se nourrir chez Burger King avec surtout leurs Rondelles d’oignon frites. Ha mes tendres années que celles des rondelles d’oignons !!! (pas de jeu de mot là dedans, je ne suis pas celle que vous croyez).

DSCN4435

En fin de compte, j’ai fini par trouver le muséum d’art contemporain de Majorque qui compte environ 80 tableaux de maîtres de la peinture contemporaine d’Espagne dont deux Barcelo, un Picasso et un Dali. D’ailleurs, c’est grâce à Dali que je l’ai rencontrée. J’étais en train de détailler le tableau du maître (parce que ses tableaux s’apprécient aussi bien dans l’ensemble que dans le détail, mais je vais pas commencer à faire un portrais de Dali, je voudrais pas être ridicule) quand une dame m’aborde d’un « This cloud is so subtle » qui nous emmène à parler pendant au 3 ou 4 minutes du tableau dans un anglais des plus accompli.

DSCN4438

Puis tout fort, elle cherche le mot anglais pour « sanglier » (non, non, on n’avait pas dévié de conversation, il y avait une tête de sanglier dans le tableau). Du coup je pars d’un fou rire magistral dans le musée quand je comprends qu’elle est aussi française que moi (en l’occurrence, elle habite Metz [je sais, c’est dur, mais personne n’est parfait]). C’est exactement le genre de situation que j’adore : parler pendant 5 bonnes minutes, l’air pénétré par le génie du maître dans un anglais somme toute des plus approximatifs parfois me concernant et me rendre compte qu’en fait, je parle à une compatriote (moitié américaine il est vrai). C’est une situation qui ne manque pas de goût à mes yeux. Et visiblement aux siens non plus dans la mesure où on a fini la visite du musée ensemble.

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Et on a prolongé le plaisir de discuter (en français) autour d’un verre un peu plus loin. Donc on est amené à se revoir puisque qu’on a échangé nos numéros de téléphone pour se prévoir une sortie sur le nord est de l’île. Demain j’ai la voiture donc je pourrais me déplacer (j’adore l’idée que le SMS qu’on va s’envoyer pour se retrouver devra transiter par la France avant de revenir) (et promis j’ai pas viré hétéro). On s’est séparé bons amis sur le quai de la station de bus.

Après le repas ce soir, c’était soirée contact. Finalement, les gens ici on vraiment l’air bien entre eux (faut dire, c’est presque que des couples ou des amis ou des familles, donc un peu exclusifs). M’enfin, j’ai pu parler et connaître un peu mes colocataires d’une semaine. Et puis j’ai un peu plus avec M. avec qui j’avais dîné hier soir (en fait, surtout parce qu’il n’y avait plus de table libre sur la terrasse et que je lui ai demandé la possibilité de dîner en sa compagnie pour profiter du temps). Ce soir, nous avons fait un peu plus connaissance. Elle paraît plutôt posée et intellectuelle, pas du tout genre un peu fofolle comme K. que j’ai rencontré à Palma. C’est une polonaise expatriée en France depuis 20 ans qui est venue profiter de quelques jours de vacances avant de démarrer un nouveau boulot.

Mardi 9 : permier jour avec voiture

Du coup, j’en ai profité pour bouger un peu. Le temps sur l’île n’était pas terrible aujourd’hui. Plutôt nuageux et brumeux, pas de pluie mais un temps lourd et menaçant. Pas suffisamment pour m’empêcher de prendre ma serviette et mon maillot de bain en partant. Ma fameuse rencontre d’hier m’ayant lâchée pour la journée, je me suis décidé pour aller jusqu’à Llucmajor pour essayer de trouver des paysages un peu plus sauvages, une ville plus authentique.

Et pour le coup, j’ai pas été déçu. La ville en elle-même ne revêt pas particulièrement d’intérêt si ce n’est visiblement un monastère, mais que je n’ai pas trouvé. L’Eglise, monumentale, impossible à photographier pour cause de manque de recul, m’a parue bien curieuse : qu’est ce qu’un bâtiment si immense fait dans une ville aux proportions somme toute modestes à première vue (et je dis bien à première vue, parce que quand j’ai voulu en sortir, je me suis rendu compte à quel point elle était étendue).

DSCN4453_l__glise_hors_normes_de_Llucmayor

Je me suis surtout baladé dans le centre ville et j’ai beaucoup aimé. L’atmosphère qui s’en dégage, ils ne doivent pas avoir beaucoup l’habitude de voir débarquer des touristes ici. J’ai eu l’impression d’une petite ville de province où le temps passe lentement, les gens ne sont pas trop pressés de quoi que ce soit et qu'ici les gens de passage sont le dernier de leurs soucis.

J’ai réussi à me faire servir une salade et même si la bouteille d’eau que j’avis demandé pétillante est arrivée plate, ça ne m’a pas beaucoup étonné ni dérangé. J’ai aimé traîner le temps de ce repas sur la place d’Espagne (d’ailleurs, c’est à croire que sur l’île, les places principales des villes s’appellent à peu près toute place d’Espagne).

Puis le temps s’étant un peu dégagé, direction la petite plage de Cala Pi que l’on m’a conseillé pour sa tranquillité. Effectivement, c’est pas vraiment la foule qui m’a dérangé, on n’était qu’une bonne trentaine de personnes. En fait de plage, il s’agit d’une langue de sable se jetant dans la mer entre deux falaises abruptes. Le décor est juste sublime et très boisé au fond de la crique. Certainement idéale pour faire plus ample connaissance avec un beau mec rencontré sur la plage.

DSCN4466_Cala_Pi_la_plage   DSCN4470_Cala_Pi_la_mer2

Oui, mais j’en ai pas rencontré. Y’avait qu’un groupe de 4 Allemands pas terribles (qui a dis « normal, ils sont Allemands »)qui m’ont vaguement reluqué mais pas plus que ça. Le cadeau des dieux, c’est quand même quand ils se sont foutus à oilpé intégrale pour se changer, sans serviette ni rien, pour enfiler finalement un jockstrap. Glam, glam, glam.

Je me suis quand même un peu baigné dans la mer. Juste la bonne température. Et le comble : j’avais pris mes lunettes de piscine. J’ai nagé, nagé, nagé et à un moment, j’ai tenté de poser les pieds par terre. Je pensais avoir encore pied vu que je voyais toujours le fond comme s'il était tout près. En fait, je n’avais plus pied. Et oui, ici la mer est limpide.

Et vu que moi la mer, ça me saoule un peu vite quand même (m'enfin, entre plage et baignade, j’y suis bien resté entre 2 et 3 heures) retour à l’hôtel pour me baigner un peu dans la piscine et surtout m’étendre sur un transat comme une vieille merde. Objectif bronzage sans (gros) coup de soleil.

Ce soir c’était comme tous les soirs : un petit cocktail au bar et la soirée qui évidemment était une soirée belote que je n’aurai pas loupé pour grand chose. D’ailleurs, si j’avais pas réclamé auprès de l’animateur, il n’y aurait eu que la soirée billard associée. Non parce que les jeunes qui viennent pour la soirée belote mais qui disent rien parce que la belote ça fait vieux, ils étaient là. Donc, après un appel au micro, on arrive à réunir une table de belote. Evidemment, j’ai pas eu une once de jeu. Mais rien de rien, même pas de quoi faire un vieux 80 pourris. Et quand je prenais quand même, mes adversaires avaient automatiquement de quoi nous faire chuter. Eprouvant. Après la remise des résultats à l’animateur pour les coupes de champagne aux vainqueurs (aux vainqueuses en l’occurrence) on a continué à jouer un peu et là, évidemment, j’ai eu des jeux de pute. Heureusement que je suis célibataire, j’aurai pu me poser des questions sinon.

Ah oui, et en attendant le début de la partie de belote, j’ai trouvé un groupe de jeunes en train de commencer une partie de Jungle Speed. Ca faisait une éternité que j’y avais pas joué. Ben je leur ai quand même appris les règles qu’ils ne connaissaient finalement pas. J’ai gagné (et même haut la main j’ai envie de dire, en leur laissant passer plein d’erreurs). Ca fait plaisir parce que contre ma sœur et mon beau-frère avec qui je joue habituellement, j’ai pas une chance.

Mercredi 10

Aujourd’hui, j’avais envie de prendre la voiture et aller à Alcùdia et Pollencia (E. m’avait vivement conseillé de monter voir l’une des deux, mais je ne sais plus laquelle). Les deux ne sont qu’à quelques kilomètres l’une de l’autre, donc c’était facile de faire les deux en même temps.

Et vu que l’autoroute qui emmène à ces villes passe par Inca, fameux marché de l’île, je m’y suis arrêté. Mais après avoir tourné dans la ville, avoir enfin réussi à ma garer, j’ai péniblement réussi à demander à une locale où se trouvait le marché. En Espagnol, c’est dur de se faire comprendre quand on ne sait dire que ola et gracias. Non parce que la brave jeune femme parlait Espagnol et… seulement Espagnol. Enfin, j’ai réussi à lui faire comprendre que je cherchais le marché d’Inca, pas le supermarché. Du coup, elle m’a expliqué que le marché, c’est demain matin jeudi…

Bon ben pour le marché d’Inca, je repasserais une prochaine fois. La ville en elle-même ne m’a pas vraiment interpellée. C’est juste une grande ville mais plutôt moderne (à moins que je ne sois pas passé dans les bons quartiers) mais qui n’a pas le charme un peu tordu et piétonnier de Palma.

Donc re-voiture pour Alcùdia. Et là, le paysage change vraiment. Tout devient plus vert, plus sauvage, plus provençale. Je ne sais pas vraiment décrire, mais c’est juste sublime. Le coin me plait tout de suite beaucoup plus que mon Santa Ponsa. Et arrivé dans la ville, les pourtours sont déjà pas mal, le style me plait bien, méditerranéen. Mais ça n’a rien à voir avec le centre. Je me gare juste devant les remparts de la vieille ville fortifiée. DSCN4484_Les_remparts_d_Alcudia

C’est beau, je suis à l’aise tout de suite. Avec les montagnes perdues au fond du paysage (même si elles sont surtout perdues dans la brume d’humidité ambiante), le panorama est magnifique. Du haut des remparts, on a une vue des toits de la ville qui sont généralement des terrasses fleuries.

DSCN4489_Alcudia_et_la_montagne   DSCN4493_Une_terrasse_d_Alcudia

Les rues sont très… je voudrais utiliser le mot « pittoresques », mais ce mot est complètement dévoyé aujourd’hui et il ne veut plus dire grand chose. J’ai passé plus d’une heure à m’imprégner des lieux en me baladant, sourire aux lèvres, dans tous ces petits chemins de traverse. Alors, ok j’ai fini par prendre un peu toujours les mêmes rues, parce que la vieille ville n’est pas grande non plus. Mais à chaque passage, il y avait quelque chose à voir, à ressentir.

La petite place avec les bars et restaurants, le clocher de l’hôtel de ville, les remparts (ou parfois juste ce qui en reste) et leur chemin de ronde, les petites rues commerçantes. Calme, vivante, enjouée, régénératrice… cette ville m’a vraiment plu.

Par contre, au niveau des restaurants, ils sont clairement axés touristes, comme tendance arnaqueurs. C’est bien connu, les touristes sont là pour se faire plaisir et donc dépenser un maximum sans moufter. Résultat, on sert une coupelle de pain sans préciser que le pain n’est pas compris dans le menu et que du coup en prenant un morceau de pain, ça va coûter 1 euro, la salade vaux juste un œil, pour pas dire autre chose (qui commence par cou et ça fini par ille).

M’enfin, disons que manger à l’ombre sur la terrasse du restaurant sous une chaleur torride sous un ciel d’un bleu profond, ça n’a pas de prix… Du coup j’en ai profité pour faire mes cartes postales. Après un dernier petit tour en ville, hop retour à la voiture pour aller visiter Pollensa, à peine à quelques kilomètres de là. La route entre les 2 villes passe juste en bord de mer. Du coup, l’envie de m’arrêter bronzer et prendre un bain dans la baie d’Alcùdia m’a pris comme une envie de pisser. C’est ce qu’on appelle l’appel de l’eau turquoise. Et c’est là le vrai avantage d’être sur une île, on n’est jamais loin d’une plage et donc quand on a une petite envie, y’a toujours moyen… J’ai au moins passé une bonne heure sur cette place entre bronzage et baignade, à quelques mètres seulement de la route. C’était vraiment bon parce que c’était imprévu (même si j’avais de toute façon prévu mon maillot et ma serviette).

DSCN4495_Le_lagon_d_Alcudia1DSCN4494_Le_lagon_d_Alcudia2

Après cette petite siesta au soleil, retour dans la voiture pour finalement aller jusqu’à Pollencia. Qui s’est révélée être juste une petite ville maritime sans intérêt particulier à première vue. J’ai appris plus tard par la réceptionniste de l’hôtel que la ville était réputée pour ses ruines, mais j’ai pourtant tourné dans la ville sans les apercevoir. Donc retour à l’hôtel vers 17 heures pour une petite séance de piscine-transat supplémentaire.

Dans la piscine, j’ai pu discuter un peu plus entre autre avec Me. et sons copain O. Me. c’est avec elle que j’ai joué hier soir à la belote. Ca a pas mal accroché. Parler de nos habitudes de repas de noël dans une piscine d’hôtel de Majorque par 35 ° est une expérience assez inédite et rafraîchissante. Finalement, il fallait juste un peu le temps que la sauce prenne parce que j’ai vraiment eu l’impression qu’il commence à y avoir des rapprochements entre un peu tout le monde dans l’hôtel.

Puis j’ai dîné à nouveau avec M. Elle m’a cordialement invité à la rejoindre à sa table et m’a même offert un verre de vin. Dit comme ça, ça paraît un peu benêt, mais vu le prix de la bouteille, c’est vraiment un cadeau. En fait, je crois que je commence un peu bien à apprécier M. Elle m’a expliqué que demain, elle part avec 2 autres personnes de l’hôtel sur l’île de Minorque. Il paraît qu’il y a là bas des plages encore plus belles qu’ici et surtout que cette île n’est pas bouffée par le tourisme comme ça l’est ici. Je dois dire que je les envie un peu, mais bon, comme je vais aller voir les montagnes de Majorque demain, je pense que je verrais de belles choses aussi.

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Commentaires
D
> ALex : He oui ;)
A
Sur le coup je me suis dis, mais il se moque de moi. Je ne vois pas de photos de toi, mais en y regardant de beaucoup, beaucoup plus près, qui vois je ?! Très malin lol
D
> Psyko : Bon ce que j'ai appris plus tard c'est que l'église exposait des tableaux de je ne sia splus trop bien quel artiste un peu connu. Dans le cas où je rentre dans une église pour assister à une exposition, pourquoi pas, mais juste payer pour l'église en elle même (et quand bien même il s'agit d'une cathédrale) ça c'est même pas en rêve.<br /> <br /> > ALex : Dans la mesure où l'ordi mets environ 3 heures à charger une photo, elle arrivent au fur et à mesure. D'ailleurs, tu peut aller reconsulter la première partie dans laquelle de nouvelles photos ont été mises en ligne hier soir. En plus j'ai quand même mis une photo de moi, tu pourrais être indulgeant ;) Bon d'ici ce soir la suite des photos devraient être là.
A
Dommage que ton récit ne soit pas accompagné de photos, surtout l'endroit où la plage se situe entre deux falaises.<br /> En tout cas, moi tu m'as donné envie d'aller dans ce pays. Chaque année on hésite car on ne voudrait pas trop débarquer à un endroit trop Ballermann (allemand saoûl toute la journée...)
P
Payer pour visiter une église... J'ai eu droit à un truc similaire à Ténérife. Serait-ce un mal espagnol ?<br /> [Mode Jean-Pierre Coffe on]Sinon manger dans un burger king... <br /> Des tapas c'est bien meilleur voyons, c'est fait avec des bons petits produits bien naturel et c'est pas plus cher.<br /> Mais le Burger king... C'est de la m*$%+#<br /> [Mode Jean-Pierre Coffe off]
De Sanquis
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