Tant de bonheur, ça devient abrutissant
Hier soir, en bas de chez moi, se tenait un concert gratuit, en plein air et certainement très sympa. Une certaine Zora (enfin, je veux bien mais je me suis laissé dire qu’elle n’était pas rousse… je dis ça je dis rien).
Beau brin de voix, musique entraînante, un brin d’humour quand il fallait bien et blablabli et blablablo.
Non parce qu’en fait j’en sais rien, je l’ai pas vu. Je devrais pas le dire, même avoir honte de déserter un concert de musique. En plein air. Sous mes fenêtres. Organisé par ma ville. GRATUIT (oui je sais, là c’est le pompon, manquer un événement gratuit en plus c’est impardonnable).
Oui mais voilà, il se trouve qu’hier j’ai passé la soirée en compagnie d’un jeune homme de bonne famille. C’était un modèle de bonne soirée. On a parlé, parlé, et parlé un peu aussi. Paris aura été le théâtre une fois encore de nos ébats verbaux.
J’ai eu beaucoup de plaisir à passer ce long mais bon (contre pétrie belge, il faut que je m’y habitue) moment en si charmante compagnie (et oui, tout viens à point à qui sait attendre).
J’attends déjà la prochaine avec une impatience qui confine à la fébrilité.